La chronique de problèmes est de retour pour un deuxième mois. La majorité des problèmes publiés sont des problèmes en 2 coups avec quelques exemples un peu plus longs. Ils sont ordonnées en fonction de leur difficulté, bien que la difficulté soit une question très relative. J’ai choisi des problèmes de compositeurs plus ou moins locaux dont : Nguyen VoVan (Hull), R. Cooper (Ottawa), G. Cozzolino (Montréal), Ken Braithwaite (Kingston), James Hall (Belleville) et le regretté Frank Fillery (Victoria B.C.) Amusez vous bien !
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Cliquez sur le numéro d’un problème. Celui-ci apparaîtra avec le nom du compositeur, la référence et l’énoncé. En cliquant sur MONTRER LA SOLUTION, vous pourrez suivre cette dernière et toutes les variantes données. Les boutons au bas de l’échiquier vous permettent aussi de suivre la solution.
Les problèmes d’échecs présentés dans cette chronique sont choisis pour leur simplicité et leur qualité. L’objectif poursuivi est de vous donner l’occasion de résoudre des énigmes accessibles et non pas de vous proposer des tours de force éclectiques. Ceci ne veut pas dire que les solutions sont faciles pour autant. Bien au contraire, certains ont un niveau de difficulté élevé.
Qu’est-ce qu’un problème ?
Un problème d’échecs est une composition. Elle utilise les mêmes pièces que le jeu conventionnel mais la position des pièces est arbitraire et composée par l’auteur. Que la position ne ressemble pas à une partie n’a aucune importance. Mais toutes les pièces en jeu doivent avoir un rôle à jouer : attaque, défense, blocage ou interception….. Les pièces inutiles son bannies. L’objectif du problème est de relever le défi de donner le mat en un nombre déterminé de coups. Mat en deux coups veut dire que les Blancs jouent et sur chaque réponse des Noirs, les Blancs doivent donner le mat. Mat en trois coups veut dire une séquence clé, réponse noire, coup des Blancs, 2e réponse noire suivi du mat. Le fait de réaliser le problème en 4, 5 ou 6 coups ne réalise pas le défi (alors que dans la partie, c’est tout à fait acceptable).
Habituellement, le coup initial des Blancs (aussi appelé la clé) n’est pas un échec, mais bien un coup qui établit la position de mat. C’est une question d’esthétique.
Organisation de la chronique
Les problèmes de la chronique sont organisés par ordre de difficulté. Les premiers sont habituellement plus simples, ce sont des mat en 2 coups. Ils sont suivis de mats en 3 coups, d’un ou deux mats en plusieurs coups et d’une finale où le nombre de coup n’est pas déterminé et le résultat peut être un gain, une nulle ou un mat. Il y a 12 problèmes par chronique et ils seront affichés pendant environ un mois, le temps de vraiment chercher à briser les énigmes plus difficiles.
Nous avons pris soin de donner les solutions. Vous avez le choix de les révéler ou de les laisser cachées. Tant que vous ne trichez pas, il n’y a rien de mal à révéler la solution. Au fond ce n’est qu’un jeu. Bonne chance.
Cliquez sur le numéro d’un problème. Celui-ci apparaître avec le nom du compositeur, la référence et l’énoncé. En cliquant sur MONTRER LA SOLUTION, vous pourrez suivre cette dernière et toutes les variantes données. Les boutons au bas de l’échiquier vous permettent aussi de suivre la solution.